Bien-pensance ou radicalité

La société se polarise de plus en plus entre les exaspérés radicalistes, qui veulent tout casser, et les mous bienpensants, qui tendent la main aux persécutés, comme on met un pansement sur une plaie infectée, sans voir qu'ils contribuent à faire perdurer les causes des oppressions qu'ils dénoncent.

Les uns et les autres sont mus par l'émotion et non par la raison et ils ont en commun de ne chercher à agir que sur les conséquences et par sur les causes réelles des problèmes.

Les détenteurs réels du pouvoir (ces hommes qui dictent leurs lois aux politiciens au nom du profit) s'en ravissent.